Sous la pression des grands laboratoires pharmaceutiques, les acupuncteurs voient leur avenir avec scepticisme...
Les patients qui se soignent par acupuncture consomment peu - ou plus- de médicaments, d'où un grand manque à gaganer pour les gros labo...
Le gouvernement cède à la pression, puisque c'est l'argent qui fait la loi.
Ainsi en France, le secteur II de conventionnement, permettant aux médecins de pratiquer de shonoraires libres tout en étant sous conventionnement Sécu, n'existe plus pour des nouvelles installations.
les nouveau xmédecins qui voudraient pratiquer l'acupuncture ont donc le choix entre le secteur I : avec une côtation d'acupuncture d e11 euros, quand un généraliste facture 21 euros à ses patients... (d'après les médecins concernés, ça ne leur permettrait pas de vivre)
ou le secteur III : ils pratiquent ainsi de shonoraires libres mais ne bénéficient d'aucun conventionnement. Les patients ne peuvent donc prétendre à aucun remboursement et c'est la loi de la jungle.
Ajoutez à cela les écoles qui se raréfient (aucune semble-t-il dan sl'ouest par exemple) et vous comprendrez que les vocations se font de plus en plus rares.
On ne trouvera bientôt plus d'acupuncteurs que dans des grandes villes et... jusqu'à quand ?